Nouvelle sensation, fraîche de son jazz, de rumba et timba, ce quintet se fait un devoir d’authenticité à 50 doigts ! Ensemble, ils réussissent avec leurs racines complémentaires à créer un son mélodieux et entraînant. Cette rumeur qui résonne en déambulant dans les rues de Cuba, du Brésil, du Venezuela, de Colombie, de France, et de la Main. Un voyage de classe, guidé par la fusion improvisée de Freddy “El Pulpo” Martinez aux tambours, Denys Espinosa à la batterie, Rodrigo Simões à la bandoline et à la guitare, Stéphane Krims à la basse et Maria Jiménez au chant.

Le sel comme assaisonnement vital. Tel est l’ingrédient répandu dans les chansons de Sal de Calle.
Dans le dédale des « rues salées » de Tio’tià:ke (Montréal), le collectif entrevoit un territoire à défricher musicalement. Des lieux majestueux où pourraient pousser des racines afro-cubaines dans les parcs. Des fêtes où le jazz monte au ciel, en un feu d’artifice, dès que l’été se pointe le bout du nez. La musique est mystérieuse, sacrée, il faut l’honorer avec une latitude infinie. Et sous l’impulsion de la diversité, garante d’un mode festif et dansant. Le FINA sera leur terrain de jeu le temps et vous y êtes chaleureusement invités.